Michael Hamilton est le président pour la région du Canada et de l’Amérique latine chez Hillrom, une compagnie pionnière en technologie médicale de niveau mondial qui cherche avant tout à améliorer les résultats pour les patients et les soignants. Michael s’est toujours intéressé aux soins de santé. Sa mère et sa sœur sont toutes les deux des infirmières et il est certain que cela a eu un impact sur lui. Il a aussi compris que le travail occupe une place importante dans la vie de tout le monde. Il avait donc besoin d’un travail qui piquerait sa curiosité et qui lui donnerait le goût de sortir du lit tous les jours. « Il arrive à tout le monde d’avoir de mauvaises journées au travail, mais même quand il y en a une particulièrement mauvaise, je sais que Hillrom et moi faisons une différence dans la vie de nos patients, et au départ, c’est pour ça que j’ai choisi les soins de santé. »
Michael a obtenu son baccalauréat en biochimie à l’Université Western, en Ontario. Peu après, il a occupé un emploi d’été dans une banque et a rapidement réalisé que les services financiers ne l’intéressaient pas. Cependant, parmi ses collègues se trouvait une personne dont le conjoint travaillait dans le domaine des soins de santé et c’est grâce à cette connaissance qu’il a été employé par Baxter Canada où il est resté pendant 25 ans. « J’ai gravi les échelons chez Baxter jusqu’à ce que je quitte la compagnie il y a un peu plus de 10 ans pour devenir un consultant indépendant en soins de santé pendant un certain temps, puis je suis passé à une petite entreprise en démarrage en Californie dont j’ai été le premier employé canadien. Par la suite, il y a environ cinq ans, j’ai accepté un poste chez Hillrom. »
« Au fil des ans, il y a eu de nombreux changements, mais les soins de santé et le CCLS sont demeurés des constantes pour moi, ajoute Michael. Je me suis impliqué dans diverses activités, comme celles des groupes consultatifs des membres corporatifs ou le programme SEPS. Le Collège est une plateforme vraiment fantastique pour le réseautage et pour établir des relations avec un grand nombre de leaders éclairés partout au pays. » Il affirme aussi que le Collège a été un excellent moyen pour lui de se tenir au courant des changements dans le secteur de la santé et de se rendre compte de ce qu’il peut faire, en tant que membre du secteur privé, pour contribuer à façonner une partie de ces changements transformationnels et aider ses clients à atteindre leurs objectifs.
Michael est fier de faire partie de l’équipe de Hillrom parce qu’elle a pour but d’améliorer les résultats pour les patients et les soignants. « Quand je pense aux 18 derniers mois, ce sont les soignants partout dans le monde et les efforts incroyables qu’ils ont faits pour traiter les patients ayant la COVID-19 qui ont été les plus importants. Notre rôle a été et continue d’être de soutenir les patients et leurs fournisseurs de soins, de nous assurer qu’ils ont tout ce qu’il leur faut et qu’ils peuvent fournir les meilleurs traitements possibles. » Toute l’équipe canadienne de Michael s’est concentrée avant tout sur l’importation au pays de l’équipement nécessaire, allant des lits pour les unités de soins intensifs, aux moniteurs de signes vitaux et à d’autre matériel essentiel. Les efforts de Michael et de son équipe leur ont valu beaucoup de commentaires positifs de clients partout au pays qui continuent de compter sur eux pendant la pandémie en tant que partenaires fiables en qui ils ont confiance. « En fin de compte, c’est ça qui est important : nous assurer d’être toujours là pour les Canadiens et d’être une entreprise sur laquelle ils peuvent compter pour donner les meilleurs soins », ajoute Michael.
C’est par l’entremise d’un événement du programme SEPS que Michael a entendu parler du Collège pour la première à la fin des années 1990, et à mesure qu’il avançait dans sa carrière, le Collège est vraiment devenu une source d’information vers laquelle il pouvait se tourner pour apprendre quels étaient les défis auxquels le secteur de la santé faisant face partout au pays et pour arriver à les comprendre. « Le Collège a évolué et est demeuré une référence pour nous, que ce soit à travers les événements SEPS ou ma participation au conseil consultatif des entreprises dont je fais partie depuis sept ans. Notre compagnie est aussi devenue un commanditaire du Forum des PDG que nous avons cofondé avec le Collège pour voir ce que nous pouvions faire pour établir un environnement sûr dans lequel les professionnels de la santé pourraient exprimer leurs difficultés et aussi pour travailler avec eux dans le but de trouver des réponses. Il n’a pas toujours été facile d’entendre certaines des critiques les plus perspicaces que j’ai reçues de mes homologues du Collège. On ne veut peut-être pas l’entendre sur le coup, mais c’est de l’information extrêmement utile que l’on obtient. »
« On en retire ce qu’on y met. Il faut participer activement aux programmes parce que c’est ce qui les rend si utiles. L’engagement est ce qui permet à un membre d’établir des relations incroyables et d’approfondir sa compréhension de ce qui se passe. N’ayez pas peur de vous engager pleinement et plongez. » Il y a une citation de Theodore Roosevelt qui trouve vraiment écho chez Michael : « Ce n’est pas le critique qui est digne d’estime, ni celui qui montre comment l’homme fort a trébuché ou comment l’homme d’action aurait pu mieux faire. Tout le mérite appartient à celui qui descend vraiment dans l’arène, dont le visage est couvert de sueur, de poussière et de sang, qui se bat vaillamment, qui se trompe, qui échoue encore et encore, qui au mieux connaîtra in fine le triomphe d’une grande réalisation et qui, s’il échoue après avoir tout osé, saura que sa place n’a jamais été parmi les âmes froides et timorées qui ne connaissent ni la victoire ni l’échec. » Pour Michael, l’important est de descendre dans l’arène et de gagner, ou d’apprendre!